le 2 décembre 2019 – iA Financial Group lance un projet pilote pour aider les participants aux régimes d’avantages sociaux à respecter leurs obligations en matière de médicaments.
L’assureur basé à Québec offrira l’accès à l’application mobile MedHelper à quelques milliers de participants au régime qui prennent trois médicaments ou plus par jour.
Les participants au régime peuvent importer la liste des médicaments qu’ils prennent dans l’application et établir un calendrier pour la fréquence et le moment de la journée où ils prennent les médicaments. MedHelper envoie ensuite des notifications lorsqu’il est temps de prendre une dose. Les utilisateurs peuvent indiquer à l’application qu’ils prennent leurs médicaments, demander un rappel plus tard dans la journée s’ils sont occupés ou dire qu’ils ne les prennent pas.
L’application suit l’adhésion des participants au régime pendant des jours ou des mois en fonction de leurs réponses aux messages-guides, puis crée des rapports à envoyer à leurs médecins. Ils peuvent également utiliser l’application pour gérer le renouvellement de leurs médicaments, leurs rendez-vous médicaux et ajouter d’autres activités liées à leur traitement médical, comme un rendez-vous avec un professionnel de santé non médical.
L’objectif du projet pilote, qui devrait durer trois ou quatre mois, est de déterminer si les participants au régime s’engageront à utiliser l’application, explique Andrée-Anne Bourgeois, directrice des produits, des communications et du marketing du groupe des solutions d’assurance collective et de retraite de l’AI.
« Nous y voyons une grande valeur. Nous l’avons testée nous-mêmes, mais nous voulions tester auprès de nos participants pour voir s’ils sont intéressés et s’ils s’engagent pour leur bien-être et adoptent de bonnes habitudes ou même changent leurs habitudes ».
Si le projet est couronné de succès, l’assureur étendra l’application à tous les participants au régime et pourra commencer à cibler les participants non adhérents, identifiés grâce aux rapports de l’application, avec une communication personnalisée et des services supplémentaires, explique M. Bourgeois.
« Nous commencerons par leur demander s’ils sont intéressés par l’application, puis ce sera le premier pas vers d’autres services liés à l’adhésion aux médicaments ».